Monsieur Robert FLEURET, qui est associé à la Congrégation de Jésus et Marie depuis 2012 au sein du groupe de Paris (communauté du bienheureux Hébert), est marié avec Claudine et est le père de trois garçons.
Membre actif de la congrégation, Robert Fleuret contribue à plusieurs projets et participe aux rencontres provinciales des AACE (Amis, Associés et Collaborateurs des Eudistes).
En plus de la photothèque, vous trouverez sur cette page de nouvelles vidéos qui relatent des événements importants dans la vie de Saint Jean Eudes.
Aujourd'hui, l'Oratoire de France est toujours actif et compte plusieurs communautés à travers le pays. Les membres de l'Oratoire se consacrent à la prédication, à la célébration de la liturgie, à l'accompagnement spirituel et à la formation chrétienne.
Sur la première vidéo d'une série, Jean-Claude Bonnefis vous présente cet événement marquant dans la vie du Père Eudes :
« J'ai été reçu et suis entré dans la Congrégation de l'Oratoire, en la maison de St-Honoré, à Paris, reçu par son fondateur, le révérend Père de Bérulle, l'an 1623, le 19 mars. Bénissons Jésus, le Fils de Marie et Marie, la Mère de Jésus. Louons-les et glorifions-les pour les siècles. »
En 1625, à vingt-quatre ans, Jean Eudes continue à bénéficier de l'enseignement de Pierre de Bérulle, mais il tombe malade en raison de cet état de fatigue prolongée dont nous ne connaissons pas la nature. Il est envoyé à la campagne pour se reposer, ici à Aubervilliers. À l'époque, petite ville au nord est de Paris, il est près d'un sanctuaire dédié à la Vierge Marie, sous le vocable de Notre Dame des Vertus, église dans laquelle nous nous trouvons devant un vitrail représentant les pères de l'école française.
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Cette église, classée monument historique, est confiée aux prêtres de l'Oratoire en 1623, soit deux ans avant la venue du père de Jean Eudes. Il y reste deux ans, jusqu'à la fin de 1626. Il se refait une santé dans sa solitude. Il reste attentif aux échos de sa congrégation.
Dans le calme de ce repos forcé, il travaille, il prie, il étudie, il laisse mûrir en lui ses immenses désirs apostoliques. Jean Eudes gardera de ce long séjour paisible un souvenir heureux. Il écrira : "Dieu me donna ces deux années pour les employer en la retraite et pour vaquer à l'oraison, à la lecture de livres de piété et en d'autres exercices spirituels ce qui me fut une grâce particulière dont je dois bénir éternellement la bonté divine."
En 1626, Jean Eudes apprend par son père que la peste fait rage en Normandie. Après quelques hésitations, le père de Bérulle lui permet de partir au chevet des malades privés de secours spirituel.
Cette photothèque internationale eudiste réunit toutes les représentations de saint Jean Eudes (peintures, dessins, vitraux, sculptures...) et de la famille eudiste dans le monde.
préparé par Robert Fleuret, associé eudiste de France
